A droite, le président de l'UMP Jean-François Copé et l'ex-Premier ministre François Fillon ont apporté ce vendredi 11 janvier, chacun de leur côté, leur "soutien" à la décision de François Hollande.
"Il était grand temps d'agir" pour "entraver l'établissement d'un Etat narcoterroriste", a déclaré Jean-François Copé dans un communiqué, tandis que, pour François Fillon, "la lutte contre le terrorisme exige l'unité de la Nation au-delà des clivages partisans".
Chacun des deux responsables prend soin de rappeler qu'il s'est entretenu directement avec le Premier ministre Jean-Marc Ayrault sur le sujet.