1er ex-æquo : Denain (Nord)
1er ex-æquo : Roubaix (Nord)
3e : Vaulx-en-Velin (Rhône)
4e : Maubeuge (Nord)
5e : Calais (Pas-de-Calais)
6e : Tourcoing (Nord)
7e : Grande-Synthe (Nord)
8e : Creil (Oise)
9e : Lens (Pas-de-Calais)
10e : Dreux (Eure-et-Loir)
11e : Alès (Gard)
12e : Lunel (Hérault)
13e : Cenon (Gironde)
14e : Saint-Pol-sur-Mer (Nord)
15e : Lormont (Gironde)
16e : Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais)
17e : Béziers (Hérault)
18e : Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire)
19e : Cavaillon (Vaucluse)
20e ex-æquo : Bruay-la-Buissière (Pas de Calais)
20e ex-æquo : Mantes-la-Jolie (Yvelines)
22e : Le Petit-Quevilly (Seine-Maritime)
23e : Vénissieux (Rhône)
24e : Liévin (Pas-de-Calais)
25e : Garges-lès-Gonesse (Val d'Oise)
26e : Sarcelles (Val d'Oise)
27e : Carpentras (Vaucluse)
28e : Rochefort (Charente-Maritime)
29e : Roanne (Loire)
30e : Lisieux (Calvados)
D'après l'Insee, 4,3 millions de Français vivaient sous le seuil de pauvreté en 2007, soit 7,2% de la population. Un chiffre d'autant plus inquiétant qu'il progresse depuis 2000. Mais toutes les villes de France ne sont pas sur un pied d'égalité face à ce fléau. Certaines cumulent tellement de handicaps économiques, que sur la base de statistiques on peut affirmer qu'elles sont les plus pauvres de France. En combinant le revenu fiscal de référence moyen des contribuables des villes de plus de 20 000 habitants au niveau de chômage de ces villes, le Journal du Net publie le classement des villes les plus pauvres de France.