Fujiyo Lapuce (Informaticien du roi Louis XVI) Bien peu de gens connaissent Fujiyo Lapuce et pourtant son influence a été très importante sur son temps (1748-1792). Même encore à présent les schémas directeurs informatiques des grandes multinationales s’appuient sur les fondements politico –macro-économiques qu’il avait mis en exergue de son vivant. C’est lui qui, reçu de son relevé de taxe sur la gabelle, avait dit et écrit (1772) cette phrase qui reste encore d’actualité « ça, c’est tout faux, c’est encore l’informatique qui débloque ». Qui de nos jours n’a pas entendu cette judicieuse remarque passée depuis à la postérité ! Né de père et de mère inconnu, il a été trouvé, un beau matin d’août 1748 devant l’entrée du relais des postes de Moncrabeau. Agé de quelques jours il n’était pas tatoué et avait pour toute fortune que son linge de corps marqué de son prénom en grec « FUJIYO ». L’utilisation de Office de tourisme du Pays d’Albret – 7, avenue Mondenard 47600 NERAC – 05.53.65.27.75 www.albret-tourisme.com cette langue laisse à penser que ses parents étaient soit des érudits soit des émigrés venus pour le ramassage des prunes. Elevé par le receveur de l’époque, le sieur LAPUCE qui lui donna son nom, il passa une petite enfance heureuse à Moncrabeau. Il fit des études brillantes chez les jésuites de Nérac ou il fut remarqué par le Comte de Pomaréde qui l’emmène à Versailles et le présente à la cour en juin 1769. Passionné de serrurerie, le Roi Louis lui passa commande d’une serrure de sécurité informatisée dont le fonctionnement ne serait connu que de lui seul. Fujiyo se mit au travail et trois mois plus tard proposa au roi une serrure codée mue par l’électricité statique (très abondante à l’époque). Pour actionner le mécanisme, il fallait frotter treize fois un bâtonnet d’ambre sur un pourpoint de soie et introduire le bâtonnet dans un réceptacle aménagé à cet effet. L’électricité accumulée attirait un cliquet de métal qui débloquait le penne et permettait l’ouverture
Le roi fut enthousiasmé et, après avoir fait jurer le secret à Fujiyo, fit installer immédiatement
la serrure sur la porte d’accès à la chambre de la reine Marie –Antoinette. En récompense, le
souverain signa une ordonnance conférant à Fujiyo LAPUCE le titre inaliénable
« d’informaticien du roi » (14 juillet 1774).
Le secret du système d’ouverture, découvert dans les archives de la reine défunte, ne fut
dévoilé que 5 ans après la mort de Fujiyo LAPUCE, en 1797, par Camille Desmoulins à la
tribune de l’Assemblée Nationale.
|