Les agents SNCF ont exercé leur droit de retrait après le droit d'alerte déposé par le CHSCT Paris Nord pour exiger la reconnaissance comme accident du travail du choc psychologique d'un conducteur confronté à un accident de personne, très souvent un suicide. Le mouvement de lundi concernait précisément le cas d'un conducteur SNCF ayant assisté à un tel accident alors qu'il était dans la cabine et ne conduisait pas.