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En chine, je vis dans le petit village,qui s’appelle « Qian Zhuang ». Dans mon village, il y a presque lesgens s’appellent ZHUANG. La population est de plus de 3000 à habitants. Monvillage parle le dialecte de Rui’an. C’est une ville-district placée sous lajuridiction administrative de la préfecture de WEN ZHOU. La ville-préfecture deWEN ZHOU exerce sa juridiction sur onze subdivisions, trois districts, deuxvilles-districts, et six xiàn (县)préfecture, communes limitrophes de WEN ZHOU. C’est une ville portuaire situéeà 400km au sud de Shang Hai dans une des provinces les plus petites. Et ledialecte de WEN ZHOU est un peu différent du nôtre. La population de WEN ZHOU àenviron à 21% Chrétienne, ce qui la distingue fortement des autres régionschinoises. Lors de mon enfance, j’envie du partir àl’étranger pour vivre là-bas. Au début, j’ai été trop jeune. Ma famille s’inquietque je suis encore mineur. À lacampagne, une personne qui va à l’étranger pour son travail, pour y vivre oupour son étude, les campagnards trouvent que c’est un type formidable. EnChine, je termine la 1ère année du Baccalauréat professionnelanglais commercial en 2003. Je décide de faire ma nouvelle vie à l’étranger. Mafamille est d’accord. Un jour, ma mère entend les personnes dire, un passeurqui veut organiser plusieurs passagers clandestins accompagnés à l’étranger. Suite,ma mère a contacté ce passeur. Je sais c’est un acte clandestin, donc illégal,mais j’encore voulais continuer à prendre ce chemin risque. Je regarde desinformations sur internet, parfois les clandestins réussirent passer parrisque, parfois ils étaient revenir chezsoi par les douaniers, encore pire ils dispersent, ils meurent par accident automobile,par naufrage ou autre… Quelques jours après, j’ai reçu un appeltéléphonique de ce passeur, il faut que je parte à la province de Guangzhou(Canton) pour nous rencontre. C’était Juillet en 2003. Lendemain, ma famillem’accompagne à l’aéroport de Wenzhou. Je les salue de la main et j’ai le regretde se séparer de ma famille. C’est ainsique je l’a quitte, puis je mets en route. C’est la 1ère fois que jeprends l’avion. Dans l’avion, en 1er ou 2er classe, à chacunfauteuils derrière, il y a paré toutes les qualités vidéo DVD. C’est unecommodité ! Mais j’ai peur car je n’ai pas habitude de prendre l’avion.Mon cœur palpite, mes mains sont contractées, elles serrent à gauche à droit lesaccoudoirs du fauteuil. Plus des heuresaprès, j’arrive de la porte l’aéroport Guangzhou. Le passeur me fait venir dansun appartement. Je trouve trois ou quatre personnes du même âge que moi. Jecrois qu’ils sont clandestins aussi. Nous y restons une semaine, ce passeurnous habille en touristes japonais, mes cheveux coloraient blond vénitien dansun salon Cantonais. Au debout, ce passeur nous fait un projet clandestin, ilfaut que nous voyageons seul, sans compagnie. (En route, quand nous arrivons aulieu de rendez-vous, toujours une personne nous accueille) Au début, j’ai peur… Je prends l’avion qui se pose àXiang gang (Hong Kong), puis nous reprenons un vol qui atterrit sur un aéroportd’une ville Dubaï d’Emirats Arabes Uni. Je descends de l’avion, il esttard, le ciel tout noir, le temps était trop chaud. C’était bizarre !Avant que je parte de chine, je mets unmanteau. Maintenant, arrivé ici, je mets un seul tee-shirt ça suffit. Je sorsdehors, après deux, trois minutes de marche, j’ai front ruisselant de sueur. Oùje suis? Quels pays ! Avec ce temps sec et chaud ! Nous avons lachance de passer devant les douaniers et de quitter l’aéroport sans problème. Ala sortie, le passeur nous attend. Il nous accompagne dans un appartement, cepasseur parle en anglais à un passeur étranger. Il ressemble un Arabe. Noussommes encore restés une semaine là-bas. Ce passeur chinois réussit à nousfaire un faux passeport japonais, il ressemble exactement à mon vrai passeport,c’était très étonnant ! Je trouvais encore mon passeport japonais sur leverso du visa, il y avait beaucoup de cachets d’autorisation, c’était incroyable !Ce jour là, il fait un temps épatant. Nous nous promenons dans des magasins,nous jouons sur internet dans un cybercafé chinois installé ce pays. Je marchedans la rue, de jeunes Arabes nous regardent, ils se parlent en souriant. Jepensais que c’est très intéressant pour voir les différents coutumes étranger,les habits sont différents, les visages aussi sont différents. Ils sontsimplement habillés en tout blanc, ils semblent très sympas. Une semaine passée, ce passeur étrangernous accompagne sur un grand bateau, nous travers de la mer. C’est la 1èrefois de ma vie que je vois la mer immense et le ciel bleu, infini. Mon couragepour plonger dans l’inconnu, la peur, l’incertitude…… Nous arrivons à une zonefrontière que je ne connais pas. Avant de descendre du bateau, des douaniers sontgrands et muscles, ils apportent des armes. Ils contrôlent les passagers. Sonregard regarde sur moi. Je lui donne mon passeport, je crains qu’ils m’arrêtentpour me renvoyer au Chine. Je pense que tous mes efforts, toute ma peine ontété inutiles, je viens de loin, j’ai fait un long chemin. Je passe sansdifficulté, mais un des douaniers arrête immédiatement le passeur étranger. Jepense qu’ils le connaissent, parce que ce n’est pas la 1ère fois qu’ilaccompagne des clandestins. Ils se sont parlé un moment. Après les douaniers laissentpasser ce passeur, Je suis pris depanique, parce que si les douaniers l’a arrêté. Et comment aurions nous faitpour continuer ce voyage à moitié accomplie. Ce passeur nous emmène dans unappartement, encore un autre passeur nous attend. On dirait deux frères. Soudain,une fille entre, elle est charmante, avec ses habits colorés, elle estplantureuse. Tout le monde jette un œil sur cette fille. Elle leur a mis l’eau àla bouche. Moi aussi je suis ahuri par son attirance. Je crois qu’elle est amie du passeur. Mais, ce n’est pas tout. Ce passeur qui sort un billet 50euros, il le met dans la poitrine de cette fille ; ensuite, ils entrentdans la chambre. Je l’ai vu. Je suis stupéfait de surprise. « Çaalors ! C’est une pute. » Nous restons encore une semaine, je suis près de lafenêtre. Je lève la tête pour regarder au dehors. Ah ! Quel paysagecharmant. Le soleil éclaire la mer, les vagues déferlent impétueusement sur desrochers. Des éclats subits et rapides de lumière dorée en multiples petitembrun. Encore une semaine de passée,nous prenons l’avion qui atterrit d’un pays Maroc, et après nous prendons unebus-voyager escaladons montagnes et collines puis arrivons en Espagne. Le jourvenu, nous, les clandestins, nous nous séparons les uns les autres, certainspartent en Italie, d’autre restent ici. Moi j’encore continue le chemin vers laFrance. Le passeur qui m’accompagne s’arrêtedans une ville Troyes. (特Tè鲁Lû瓦Wâ)Troyes, capitale historique de la champagne, Troyes est par excellence uneville à découvrir à pied, au gré de ses envies et de sa curiosité.
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